Le vent nettoyeur fait envoler
les feuilles dorées de la glicine.
Fifty, sa patte souple qui m'effleure
demande encore un peu d'amour.
Quelque part il y a, j'en suis très sure
un champ entièr couvert
de joies belles et de fou rire
mais moi je creuse mon long fossé
du déséspoir à rimes plates ou même croisées.
Femme confuse
dans le jardin des reves barrés
je bouge, j' empile des pots anciens
de déséspoi, étant certaine
que mon futur sera
ni noir, ni rose
mais juste un long boulevard
de vie morose.
Écrit par galatea belga
Mon rêve est la réalité banale d'un autre
Catégorie : Triste
Publié le 29/12/2019
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Commentaires
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Posté le 29/12/2019 à 20:12:38
Superbe plume, merci | |
Ombellune |
Posté le 30/12/2019 à 00:32:47
Mélancoliquement, le poème dit toute la tristesse dont est capable une humeur froissée. Bon courage ! | |
jacou |