Elle soulignait ses grands yeux
De velours noir
D'un mouvement voluptueux
Face au miroir ;
Et moi je l'observais, tranquille
Apprivoisé,
Momentanément immobile
Hypnotisé,
Goûtant au parfum d'absolu
Et hors du temps
De cet instant où j'avais lu
Le cœur battant,
Comme en la note pénultième
Et pianotée
La fugitivité extrême
De la beauté ;
Elle soulignait ses grands yeux
De velours noir
D'un mouvement voluptueux
Face au miroir,
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Commentaires
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Posté le 31/03/2012 à 04:24:20
c'est comme une mélodie pour moi bel écrit |
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Hippo |
Posté le 31/03/2012 à 08:36:54
Jolie scène ! | |
Victor Alexandre |
Posté le 31/03/2012 à 14:20:52
Je pense que la deuxième strophe seule est moins bonne, trop vide, là pour la rime uniquement. Je fais cette critique parce que le poème est très beau : on aimerait le voir plus parfait encore. |
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CaecusSurdus |
Posté le 04/04/2012 à 19:11:26
superbe !! | |
MARIE L. |