Ma tête part en vrille,
Mon cœur ne suis pas,
Ai-je vraiment le choix,
Je suis qu'une petite fille.
On me dit "tu peux choisir",
Mais personne n'en a rien à foutre de mes désirs.
Alors je répond ce qu'on veut entendre,
Avec mon cœur je ne suis pas tendre.
J'oublie mes délires,
Mon cerveau passe avant,
J'en souffre tellement.
J'oublie de sourire.
Mais tout meurt,
Quand ma tête décide de m'abandonner,
Mon cœur est déboussolé,
Ne me reste que la peur,
D'être rejetée.
Si les gens étaient lâches,
Face à ma tristesse.
Je prendrais une hache,
Et avec l'ivresse,
De la joie de partir,
En finirai tout sourire.
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Commentaires
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Posté le 05/06/2016 à 04:45:01
Votre poème est à la fois complainte désillusionnée et appel à l'aide, et finit sur une sourde note de violence rentrée. | |
jacou |
Posté le 27/12/2016 à 23:52:10
Cette violence est une réponse en quelque sorte, une question où on ne laisse qu'un choix, ne laisse pas souvent de belles options. Merci. | |
ginou2002 |