Elle était amoureuse, d'un amour infini
D'un homme qui l'a charmée, d'un regard démuni
Elle le pensait parfait, il n'était que méfait
Mais elle était aveugle, n'a pas vu ses péchés
Et soumise à ses ordres, elle fut capitonnée
Elle vivait libre mais, son esprit enfermé
Ne put lire décemment, les mots la condamnant
Ces mots qui l'aveuglant, réprimant fermement
Ses réels sentiments, désormais bien absents
La laissant tristement, son ombre l'enterrant
Elle se croit amoureuse, mais son amour finit
Son homme n'est que méfait, elle le pense parfait
Il n'a que des péchés, mais elle est aveuglée
Elle ne put le quitter, elle ne vit ses défauts
Elle finit par l'aimer, d'un amour qui est faux
Elle est bien possédée, et ne vit sans un mot
De peur de jalouser, son mari bien trop beau
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Très triste poème, je me vois à travers ces lignes sauf que dans ton poème j'aurais été "la fille" donc il y aurait fallu remplacer par "il" si j'y étais ce qui n'est point le cas. Je ne peux dire que très très beau poème et ces mots ne suffisent point encore. Mes amitiés poétiques, le jeune adolescent dragon55320 | |
dragon55320 |
wow. Rien de plus à dire. |
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Dehorian |
C'est un grand sacrifice de sa part, c'est triste et beau en même temps, très bel écrit amitiés poétiques |
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absolème |