A celle que j'aime peut être...
Le train déjà quitte la gare
Et j'aperçois de la fenêtre
Une perle dans ton regard...
Je m'en vais le temps d'un voyage,
Te savoir loin est impossible ;
Je ne verrai que ton image
Au fronton du ciel impassible.
A toi qui un jour m'a parlé
Pour anesthésier mes souffrances,
Pour toi j'ai su mettre à part les
Vœux vidés de toute espérance.
Qu'as-tu perçu dans l'œil farouche
Que je dressais face à la foule
Pour soudain approcher ma bouche
Et semer ce qui en découle?
Quel est ton nom, nouvelle muse?
Un détail, un instant m'inspire...
J'écris trois vers et ça t'amuse
Car tu sais comment je respire.
Tu sais d'où je viens et quel gouffre
J'ai dû traverser en tremblant ;
Je sais d'où tu viens, que tu souffres
Que tes yeux ne font pas semblant.
Même la mort ne brisera
Pas notre amour. Si je pars en
Premier on se retrouvera ;
Nous qui devions être parents.
Écrit par hippocampe noir
http://hippocampe.noir.over-blog.fr/
Catégorie : Amitié
Publié le 13/05/2010
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trop beau! comme disent les petits, qui ont toujours raison!!!bien sur que nous aurons , plus loin, ce qui nous aéchappé en ce monde ah! la petite fille Éspérance,,,,, | |
flipote |
C'est vraiment très beau...cette cascade de mots en sentiments... Amitiés |
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Yuba |
doux et beaux! | |
MARIE L. |
Très beau ! amitiés Louann |
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louann |