Une mer d'émeraude, transe chamanique paradisiaque,
Pause mystique, plages vierges, dansent dans un hamac,
Bonbons acidulés, comme un sachet de car en sac,
Emprunté au temps qui passe, juste pour sentir le ressac.
Illumine le phare, la nuit guide les marchants ignorants,
Portés par les flots bleus, sur leurs bateaux conquérants,
Perdu qu'un instant, qui dure depuis mille ans,
La lumière illuminera leur chemin d'étoiles, grandissant.
Un petit ruissèlement d'eau tiède tel une rivière,
Sur nos corps qui se collent pour s'aimer tel une prière,
Nos mains les découvrent, comme un psaume prioritaire,
S'en rappellent depuis toujours, au diable Lucifer.
Je t'aime mon amour, aime-toi, abandonne-toi,
Vit l'instant, découvre l'inconscience d'un enfant,
Premier baiser volé, dans la cour en cachette des grands,
La cloche sonne, il est temps de rentrer en souriant,
Vers ta flamme encore et toujours…tendrement.
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Bonsoir Hugo, Belle Récréation en ces Temps chaotiques .. ça fait du bien de lire cela .. Merci ! ça danse dans un Hamac .. Plénitude absolue ! LyS.. |
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Lys-Clea |
Très délicat et suave. J'ai aimé merci | |
philomène |
Bonsoir Lys-Clea, ça fait du bien de l'écrire aussi... Merci, et ne pas descendre du hamac tant que des symptômes persistent :-) Merci Philomène et ravi qu'il t'ai plu Hugo |
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hugo13 |