L'orage de la nuit déchire le silence du ciel,
Une flamme se réfugie, cache confidentielle,
Dans ce court horizon une sombre partition s'éclaire,
S'illumine de cette collision, comme un simple éclair.
Vibrance absolue, tête engourdie s'alourdit,
Insolence absence, se réfugie dans l'oubli,
Les limbes absurdes, deviennent complices,
De ces folles journées qui s'assombrissent.
Une nouvelle basse accompagne ces guitares,
Rythme ce beau prisonnier, tel un bâtard,
Il en résulte une légende de vaillant bagnard,
Dans l'odeur surannée, de cette jungle bizarre.
Le froid s'installe, force destructive de ces envies,
Bien plus présent que ses magnifiques rêves enfouis,
Travail de sape, cauchemars brûlent au cœur de l'incendie,
Tenter de survivre, coûte que coûte, tel un apprenti…
De la vie.
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Magnifique et réel merci 🙂 | |
Sanou Djad |
Bonsoir Mais l'Apprenti sait beaucoup de Choses .. Belles Images sous les Mots .. j'apprécie particulièrement la première Strophe ! Bravo ! LyS .. |
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Lys-Clea |
Merci Sanou Djad, @ Lys-Clea, L'apprenti, le reste toute une vie.... Merci, Hugo |
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hugo13 |