L'ombre se détache,
Prend son envol vers l'inconnu,
Sans faille, à l'impromptu
Se déplace dans le ciel nu.
Virevoltant à l'aveuglette
Sans préméditation aucune,
Elle tache les murs pinèdes
Qu'entourent mon ascension occulte.
L'ombre me trompe
M'interroge sur l'avenir,
Me baigne dans des songes,
Des fois le jour, souvent la nuit,
Je vous jure, j'ai vu des anges
Qui n'avait rien de catholique.
Comme une pulsion inquiète,
L'ombre me pousse vers l'abîme,
Où le regard posé m'opprime,
Trop de réponses m'invitent
A faire le pas facile,
Vers cet univers docile.
Mais peur ou survie,
Je jette ces ombres dans l'abîme.
Plus jamais elles ne remontèrent,
Vers l'espace de mes terres.
Là où je me sentais à l'aise,
Je finis ma vie,
Sur un air de fête
Mais aussi dans l'oubli.
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Commentaires
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Posté le 28/11/2008 à 22:35:44
il est magnifique ton poeme mon hugo je l adore il est vraiment beau amities LyLi |
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lyli-lu |
Posté le 28/11/2008 à 23:29:48
très bel écrit ! Louann |
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louann |
Posté le 28/11/2008 à 23:32:28
Merci de votre lecture et de vos commentaires Louann et petite-Lyli Hugo |
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hugo13 |