Lopins dans les terres porteurs de hauts pylônes
Le Ciel de ses pollens mainte cité constelle
De clochers ces rochers qui font une âme telle
L' élue des églises appelant pour ses prônes
Les pierres élevées crucifient les soleils
Les lunes aux linteaux couchent dans leurs lueurs
Les rais dernières eaux coulées des fleuves d'heures
Que l'Éternel ressource au Jardin sans pareil
Stonehenge a des tours chatouillant jusqu'aux ciels
Dégorgeant leurs couleurs aux esprits essentiels
Goûtant des paradis la rivière et puis l'arbre
Les forêts ont formé des cerveaux qui foraient
De bois dormis l'effet s'éveillant à l'orée
Tables des lois contées au cénacle de marbre
*-*
(Les "Paradis" de la Perse antique étaient des jardins irriguées plantés d'arbres. Le quartier de La Défense à Puteaux proche de Paris se situe en bord de Seine)
Écrit par jacou
L'art alchimique me tue, me transmute, me sublime. J'en renais plus fort, poétiquement. À suivre.
Catégorie : Spiritualité
Publié le 06/09/2022
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Bonsoir, Qui mieux que ta Plume, pour parler ainsi .. :) BRAVO pour ce Sonnet .. ( et espère Bonne Nouvelle pour Minnie ) :) A:) LyS .. |
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Lys-Clea |
Bonjour Claire, merci de tes mots... Minnie va mieux, mille mercis de prendre souci d'elle : tu es humaine comme une féline :) Amitié :) |
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jacou |