Vous ne saurez jamais pourquoi l'on parle ainsi
Je ne sais moi-même où je dormirai demain
Mon stratagème n'a que la force des mains
Qui offrent leur faiblesse, et moi l'oubli aussi
Intense que nécessaire à mon devenir
Sentant combien l'instant serait une auréole
A l'idée figée que rédige la parole
Cela est la mort et le futur souvenir
Qui l'installe à présent dans un chemin de moi
Dès que j'écris le temps s'évade où je demeure
Ne laissant à nu que le corps et ses émois
Et l'esprit vidé par les semblables réponses
Qui s'obsède aux syllabes que lui forge l'heure
Pour ne plus voir la façon dont il se renonce
Écrit par jacou
L'art alchimique me tue, me transmute, me sublime. J'en renais plus fort, poétiquement. À suivre.
Catégorie : Triste
Publié le 27/03/2014
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Commentaires
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Posté le 27/03/2014 à 00:19:33
j'apprécie beaucoup de relire ce poème que je ne comprends pas du premier coup | |
Reverbererouge |
Posté le 27/03/2014 à 03:52:27
SO DO I | |
flipote |
Posté le 27/03/2014 à 08:28:27
je vais le relire calmement plus tard | |
PATGUI |