Je déambule sur les pavés,
Jonchés d'êtres exquis,
Et de jolies dépravées.
Je funambule sur la misère,
Et contemple les fards,
Qui épousent les paupières.
Je joue à cloche pied,
Enjambant les seringues,
Sur ma marelle improvisée.
Et dans ce monde désœuvré,
Où l'unique soleil,
Est dessiné à la craie,
Parfois la vie,
Pousse comme une mauvaise herbe,
D'une cruelle ironie...
Écrit par le petit chose
il vaut mieux vivre sa légende personelle pluôt que de la chercher
Catégorie : Divers
Publié le 05/03/2010
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Commentaires
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Posté le 05/03/2010 à 09:44:50
J'adore ton poème !! Il est si vrai dans un sens. Divi. |
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Divinity |
Posté le 05/03/2010 à 09:44:55
J'aime beaucoup ce style et bien sur ce poème. | |
Panda |
Posté le 05/03/2010 à 10:26:25
Très beau texte, de scription cruelle d'une certaine réalité souvent ignorée. Bravo, hysard |
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hysard |
Posté le 05/03/2010 à 13:41:33
le petit chose une façon de nous ouvrir les yeux sur ce que nous voulons ignorer, la réalité est bien là |
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marie-ange-old |
Posté le 05/03/2010 à 14:52:31
Très bel écrit sur la misère du monde qui jonche nos sols et que nous ne voyons plus ! amitiés Louann |
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louann |