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Une infirmière m'a pressurisée,
Me faisant peur sur des chimios ratées,
Une deuxième m'a dit que mes dents allaient tomber,
Malade du cancer sa mère lui avait confié.
Une troisième a voulu s'incruster chez moi,
Pour le fric avec grand fracas,
Et m'a racolée au détour d'un chemin,
Pour me planter un peu plus loin la canne blanche à la main.
Je les appelle les trois grâces,
Car ces trois-là sont des pétasses,
Intéressées par le fric évidemment,
Elles m'ont persécutée sur le moment.
Je ne généralise pas la profession,
Mais le patient ne peut endurer une telle soumission,
Les trois grâces je les ai jetées,
Car je ne supportais plus d'être mal menée.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 06/05/2014
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Commentaires
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Posté le 07/05/2014 à 10:36:11
J'AI CONNU çA MOI AUSSI DE BELLES ESCROQUES DE VRAIES SALOPERIES QU'ELLES AILLENT EN ENFER! | |
flipote |