A l'aube de ma mort je survis encore,
D'une haine avec la souffrance de mon corps,
Je m'égrène au fil du temps,
Sur l'oubli tracé des biens pensants.
Le désespoir s'accroche comme une tigresse,
La fuite en avant n'est pas une prouesse,
Mon cerveau dit non à tout acharnement,
Mes cauchemars sont présents à chaque tournant.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 22/06/2014
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de lisezmoi au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 22/06/2014 à 13:22:24
SI MA FRATERNELLE AMITIÉ POUVAIT QUELQUECHOSE POUR TOI!!! PUISSELA TÉLÉPATHIE TE TRANSMETTRE UNE DOUCE CARESSE SUR L'ÉPAULE ,,,, JE T'EMBRASSE | |
flipote |