A l'aube du printemps je suis un caillou dans le désert lisse et imperméable. Dans les reflets de la lumière, seul, il restera immobile et sans voix, immuable dans la bruyère. Ce caillou blanc comme une statue, a trouvé sa vérité tant rejetée par les marées d' hier
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 20/03/2011
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Commentaires
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Posté le 20/03/2011 à 17:18:23
Bien écrit... à méditer cordialement CRIS | |
CRIS |
Posté le 20/03/2011 à 19:15:26
Ces petits cailloux qui voyagent au fil des années, au fil des temps ! amicalement Louann |
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louann |
Posté le 01/04/2011 à 00:07:35
très beau... | |
19552911 |