L'auteur de Capri c'est fini est un orphelin
A la naissance il n'avait pas de lendemain,
Un simple numéro de la DDASS,
Où ma vie se reconnaît en face.
Hervé Villard voulait chanter l'espoir,
Pour ne pas crier dans un mouchoir,
Un jour il voulut se suicider,
Mais faut-il mourir ou vivre pour en échapper.
De Méditerranéenne à Rêveries,
Il en avait gagné le prix,
Chanteur de la fête des Mères,
Il n'avait pas la langue rancunière.
Célèbre dans les années 70,
Il s'avait se tenir en fils,
Il confia sa vie à un abbé,
Qui lui a donné le sens de la prospérité.
De Venise à Paris il m'avait conquise,
Sur des refrains qui étaient de mise,
J'en suis aussi le témoin,
Lorsque l'on n'a plus rien.
Témoin du courage et de la volonté,
Toi Hervé tu me l'as donné,
Capri n'est pas fini,
C'est une goutte dans le compromis.
Venise dans l'éternité se réfugie sur les cœurs malmenés,
Un enfant n'est pas un objet à rejeter,
C'est un souffle dans la continuité,
Où jaillit le chant des valses dans les esprits griffés.
Aujourd'hui Hervé Vilard reprend des tubes,
Qui transpirent les habitudes,
Dans la tournée Age Tendre et Tête de Bois,
Il reprend les refrains d'autrefois.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 25/10/2011
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