Comme des notes de cristal qui s'égrènent,
Ma somnolence est souveraine,
Les échos d'un Fa ou d'un La mineur,
Reflètent la transparence des couleurs.
Solide ou insolent le piano est l'image d'une vie,
De la musique de ma symphonie,
Qui poursuit le visage d'un court-circuit,
Mais je ne sais toujours pas vers qui.
Le piano de la nuit résonne dans le silence,
Il se dédouble semblable à une jolie danse,
De cette musique découlent les sentiments refoulés,
Comme des mélancolies oubliées et jamais imaginées.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 03/12/2012
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