Tu résides en une lutte
Pour un sourire combattant
La larme qui seule butte
sur une joue d'enfant.
Tu résides en une jeune vie
Dont les souvenirs vieillis
emportent mon coeur tendrement
Entre leurs chuchotements.
Tu résides en une plume
Figée, condamnée, dans la brume
Mélancolique, fanatique, frénétique
L'auteur s'oubliant, esclave poétique.
Lo.
Écrit par lo
\" Le poète est un grand mytho qui s\'invente des thèmes pour sourire, pour énerver, pour qu\'on lui dise je t\'aime \" Grand Corps Malade
Catégorie : Amour
Publié le 26/04/2011
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Commentaires
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Posté le 26/04/2011 à 23:28:53
Quand on tombe Amoureux de la poésie, oui on en devient esclave. Après...la poésie sert aussi les sourires... Joliment dit. Merci |
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Iloa |
Posté le 27/04/2011 à 07:47:14
Oui ..je me retrouve dans tes mots à la clarté si évidente ..reste esclave petite lo .et écris encore des mots justes sensés et à la belle poésie .. | |
ulysse |
Posté le 28/04/2011 à 15:37:59
J'ai senti couler cette larme tout au long de ton poème, comme un reflet poétique. Très beau, Miss Lo ! |
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Nighty |
Posté le 12/05/2011 à 17:04:23
Surprenant et Très joli | |
mnemosyne |