Des gouttes d'eau, sur ma peau,
Glissent, glissent le long de mes os,
et rencontrent sur mon sternum,
Toboggan, un pouls violent.
Les muscles ronds, pétrifiés,
Sont depuis peu, le foyer
D'un feu ardent qui lentement,
Se consume en mon dedans.
Une frêle main, sur ma peau,
Glisse, glisse le long de mon dos,
Et y danse, telle une flamme
A la recherche de son âme.
De saintes lèvres, sur ma joue,
Glissent glissent, le long de mon coup.
Le feu brûlant devient douceur,
Laissant place, a un amour naissant, joueur.
Écrit par luron larzac
Un jour peut être
Catégorie : Amour
Publié le 22/08/2011
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Commentaires
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Posté le 22/08/2011 à 22:53:14
bonsoir luron larzac, très très bel écrit, d'une tendre et délicate sensualité ... amitié poétique |
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marie-ange_old2 |
Posté le 23/08/2011 à 11:58:13
Merci c'est gentil :) J'en suis en effet assez fier, il me plait plus que la plupart des poèmes que j’écris ! peut être aussi parce qu’il est plus joyeux que les autres ^^ Amicalement, Un joyeux Luron |
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luron larzac |