Je passe mes jours, à fixer ma vie.
C'est les yeux ouverts, que je passe mes nuits.
Non, les nouvelles ne sont pas très bonnes.
Pourquoi est-ce que tu vois, toi,
Des choses que je ne vois pas, moi ?
Dans mon cœur, l'orage tonne.
Je ne crois plus aux fables, aux bonheurs de légendes.
Et tous les châteaux de sable, que l'on avait monté,
Seront, si j'en crois les vagues, couverts par la marée.
Et toutes ces contrées imaginaires que les vents fendent,
Comme ces rires si innocemment lancés,
Par ces vents, aux quatre coins, dispersés.
Et j'ai vue, les fleurs, dans le jardin, se faner.
Et j'ai refusé, de revoir le jour se lever.
Mais sachez que si je pleure, ce n'est pas moi, c'est mes yeux.
Je pensais le savoir pourtant, c'est douloureux.
Et si je vie encore, c'est comme de jouer avec le feu.
Oui, je le sais, c'est dangereux.
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Oui dangereux, de vivre dans les doutes et le passé, tu risques de t'y perdre et te complaire... Un écrit qui hurle de désespoir... Amitiés Louann |
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louann |
Le passé est bien souvent, la tombe des tourments. Le désespoir n'est que passager, tu verras, un jour tout va s'arranger. D. |
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