Si je meurs se sera :
D'une balle entre les deux yeux
Pour ensuite s'étaler sur le plancher crasseux
Ce sera une mort lente
Sentir mon âme qui flanche
Sentir le fusil appuyé contre ma tête
Puis compter jusqu'à sept...
Le bonheur de m'avoir battu
Mais le malheur d'avoir perdu
Mourir dans le feu de l'action
vivant mes derniers moments dans la tension
Me sentir vivant
Puis se sentir mourant
Puis laisser mon corps à la putréfaction
Sans aucune attention
Ronger par les bestioles
Ne laissant que mes os sur le sol
Je ne veux pas mourir
Brancher à des machines ;
À seulement penser
Le bonheur d'avoir aimer correctement
Où les regrets et les tourments de ne pas avoir comprit à temps
Ne plus se sentir vivre
Seulement regarder les jeunes s'amuser
Et les envier
Écrit par marie05
l'amour c'est comme le vent sa vient et sa part ...on ne peux jamais l'attraper
Catégorie : Divers
Publié le 20/06/2006
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Lugubre ce poême, le matin pas évident de lire ces phrases ! | |
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j'imagine ! mais c'est a sa que je pensait ! mais c'est vrai ! si je devrai passer plus de 2 semaine brancher a des machine , qui me tiendrai en vie ... je demandrai a quelqu'un qu'on me débranche je serai pas capable ! | |
marie05 |