S avourer les quatre Saisons à sa juste valeur, cantate ou sonate, tout en moi résonne,
A UTOMNE porté par Vivaldi aux milles feuilles chatoyantes qui tourbillonnent, saison des vendanges Oh! ma terre Bourguignonne,
I nsuffler par tous ces vents même le Vent d' HIVER de Chopin, scène de froid dans le Roi Arthur de Purcell fin d'année qui réveillonne,
S acrement du PRINTEMPS ou tout s'éveille avec Stravinsky ou Ronsard, au choix, allons voir si la rose Mignonne,
O utrecuidant avec l' ETE de Berlioz, emporter vers d'autres lieux mais que rien n'emprisonne,
N ostalgie ou gaité, chaque saison carillonne, rayonne, ronronne, chacune en nous supporte une couronne...
Écrit par marquisa
Le verbe aimer est difficile à conjuguer: son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif et son futur est toujours conditionnel. Jean Cocteau.
Catégorie : Nature
Publié le 22/01/2019
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Commentaires
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Posté le 22/01/2019 à 01:36:52
La musique qui nous emporte, l'évocation qui nous retient, et la poésie qui nous laisse le temps de goûter à la perte de nos repères, le temps d'un rêve sur les ailes musicales, c'est tout cela que vous suscitez dans ce poème... J'aime votre bel hommage qui rayonne ! | |
jacou |
Posté le 22/01/2019 à 12:35:58
Le mot saison a joué ici un rôle de belle parenthèse , lovant en elle les quatre saisons quand ton poème prête aux quatre tout l'étincelement qu'elles méritent . Bravo Lise ! |
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Yuba |
Posté le 22/01/2019 à 16:43:25
Bonjour yuba, Jacou, j'ai été inspirée par les quatre saisons de Vivaldi et je trouve que chacune de ces saisons a sa particularité et ses atouts Amicalement. Lyse. |
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marquisa |