Que le front commence que le bal commence
Mes bras mes pieds acérés de Virulence
Des raids moustiques partout des piques surtout
Et personne ne pouvait s'en vengeait du tout
Le bruit de leur diptère me tourmentait fort
Je l'appelais la fanfare d'un drone mort
Quand il se crachait d'une ogive lourde
Et cela me laissait en situation sourde
Pendant l'été et Loin de leurs regards moqueurs
Je démangeais ma peau qui était plus douceur
Autour des lampes fleurit la nuée de culex
Qui était un bon réseau purement télex
Dans des ombres irisés de leurs diptères
J'étais scandalisé de leurs reflets reitres
Engourdi par leur anesthésie de gamme
Tellement Sidéré de leur Milligrammes
Rien n'égalait leur pratique en chirurgie
Rien n'était à leur égard en morphologie
Personne ne pouvait défier leur cautèle
Pourvue qu'elle soit une grande espiègle
Écrit par megapdg
il n'est jamais trop tard pour bien se changer
Catégorie : Social
Publié le 20/09/2019
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J'ai lu mais rien à dire ; mes neurones sont trop vieux | |
Belle de jour |
:) merci pour cette lecture toute en tzee tzee que la main se lève toute seule hi hi bonne journée megapdg :) |
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MARIE L. |
Les petites créatures qui vivent avec nous elles nous donnent des leçons de vie purement bénéfiques Bonne journée |
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megapdg |
Bravo pour les "reflets reitres" ! J'aime la profonde originalité de votre style, les expressions que vous employez, les images qu'elles suscitent ! La guerre est aussi celle des moustiques, et la "cautèle" est humaine également : bon réseau de correspondances poétiques et le style est très rythmé ! J'adore ça, merci ! À vous lire encore Megapdg ! | |
jacou |