Sur ma porte il y a une faible femme
Assidue d'une chandelle qui enflamme
Pleinement fou devant son geste unique
Spontanément ahuri devant son tunique
Mon haleine s'escadrille de temps à autre
Sans prévenance quand elle est au centre
De la porte quand elle demande l'aide
Et quand elle commence son jérémiade
Maintes fois elle est triste et suppliciée
Elle est alarmée de ses actions viciées
Que des ecchymoses que des traces giflées
Dans tous les points du corps moins soufflé
Absolument pas ; ça y est ; cette fois-ci
Je déteste cette sauvagerie durcie
Qui touche cette femme paralytique
Qui a tellement atone et pudique
Je suis la procédure jusqu'à sa fin
afin de solder le geste du pèlerin
Qui considère sa femme tel un roc
Alors qu'il faut combler ses besoins ad hoc
Écrit par megapdg
il n'est jamais trop tard pour bien se changer
Catégorie : Triste
Publié le 23/12/2019
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