J'vais pas t'mentir OK maman,
J'ai envie d'rire de temps en temps,
Mais il n'y a pas un regard,
Sans le rappel de ton départ.
Deux ou trois larmes dans les yeux
Et oui maman je pleure un peu
Mais ce n'est pas de la tristesse
Juste le manque de ta tendresse.
On m'a dit p'tit elle va partir
Vas-y dit lui c'que t'as à dire
J'voulais crier mais j'pouvais pas
Alors je l'ai prise dans les bras
Jl'ai serrée fort pendant des heures
Et puis encore de tout mon cœur
J'lui ai dit je t'aime au moins cent fois
Elle m'a dit moi aussi tout bas
Je suis sorti de l'hôpital
J'navais jamais eu aussi mal
Dehors le ciel n'était plus bleu
Elle me manquait déjà un peu
Je n'sais pas qui dirige en haut
Si il y a quelqu'un c'est un salaud
Un type qui se croit tout permis
Non mais franchement y s'prend pour qui
Oui de quel droit tu m'prends ma mère ?
T'es qu'un connard fin t'en a l'air
Tu parles d'amour et de pardon
Mais ce n'sont qu'des phrases à la con...
Je donnerai mon âme pour la revoir
Je donnerai ma vie et mon histoire
Je donnerai mon cœur et mes chansons
Je donnerai luther et puis Pluton
Je donnerais l'soleil je donnerai la Lune
Toutes les merveilles et les fortunes
Je donnerai les monts je donnerai le ciel
J'me donnerais moi si c'est pour elle...
J'vais pas t'mentir ok maman,
J'ai envie d'rire de temps en temps
Mais il n'y a pas un regard
Sans le rappel de ton départ
Deux ou trois larmes dans les yeux
Et oui maman je pleure un peu
Tu me manques vraiment
Je t'aime, maman...
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j'ai le coeur au bord des yeux,c'est magnifiquement écrit!bises micosix... |
zelma  |
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Ben voilà on touche à mon cœur et il déborde, je pleure comme une conne devant mon écran tu as creusé un puit et y à de l'eau dedans ! Ben, bravo ! Dans les premières lignes j'me suis dis sois forte ! mais là ! Je te serre fort ami poète ! |
| Ecriveuse |
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Je me doutais tout à l'heure qu'il y avait quelque chose quand tu m'as dit que ton histoire se rapprochait de la mienne. Je sais exactement ce que tu ressens, moi même j'avais maudit Dieu et insulté un prêtre à la chapelle de LAVASINA, j'avais aussi renversé tous les cierges, j'étais comme fou, avec le temps la douleur est restée mais la sagesse est revenue en moi, toute colère et haine ont disparues, je comprends ta haine mais tu verras, elle partira avec le temps. Amitiés. |
JB  |
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Bonsoir, J'ai eu l'impression de me voir aussi dans ce poème, quand on perd un être cher on passe plusieurs étapes, la colère, la peine, le regret et ensuite on s'apaise doucement, il faut savoir que nos pleurs font souffrir nos proches...mêmes là haut...nos plus beaux souvenirs il faut le garder, mais ne pas conserver les images les plus dures car elles deviennent un lourd fardeau pour notre coeur. Comme dit JB la haine va disparaître et tu parleras de ta maman avec amour et paix, que son âme soit au repos. Je me permets de t'embrasser très fort Micosix...j'ai pleuré en lisant ton poème. Amicalement Ange de lumière |
| Ange de Lumière |
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difficile de continuer d'être de croire de vivre trés émouvant poéme Micosix amitié |
| MARIE L. |