Pauvre petits êtres aux esprits primitifs
Corrompus par tout ce qui possède un coût
Voyez-vous à travers le monde ne serait-ce qu'une once de regard admiratif ?
Votre préoccupation est donc vraiment centré qu'à travers vous ?

La force du vent permet à Dame Nature de laisser couler ses larmes
La sentez-vous effleurer vos peaux ?
Et la morsure du froid vous lacérer telle une tranchante lame ?
Entendez-vous ses plaintes nager à travers un torrent d'eau ?

Les feuilles mortes ne se ramassent à la pelle
Elles dansent librement bercé par la douce mélodie d'une fraîche brise
Que restera t-il de toutes ses merveilles ?
Pourrons-nous continuer à tournoyer dans la rosée comme jadis ?

C'est alors que le soleil se ternira en noir
Que nos corps putréfiés six pieds sous terre ne pourrons plus rien tenter
Que nos âmes réduites à néant ne pourrons plus rien voir
Que nos esprits se rendront compte du désastre causé