UN GRAND MERCI
La naissance ne va pas sans souffrir, cette tolérance qui s'offre la vie. Cette mère aura enfin su se faire comprendre aujourd'hui. Tant de siècles reculent devant toutes ces années inhumaines, à se torturer de père en fils. Un jour, pour se faire entendre, un homme a réalisé qu'il n'était pas seul à vivre.
Il faut en venir à l'évidence pour en recueillir le sens propre. La voie de l'amour faisant son œuvre, dans les lignes d'une main se tient un parchemin. De ces cicatrices ressortirent autant de moralités, qui se joignirent pour une seule femme, celle qui aura fait concevoir sa foi. Il ne peut s'en sortir sans elle. Portée par la couleur d'une mer lointaine qui rougit d'espoir à continuer d'alimenter la vie, la naissance est plus divine que l'homme, sa discipline lui est inconnue.
Ainsi je tâcherai d'honorer
La bonté d'une femme dévouée
Digne, remplie de fierté
Elle a bravé sagement
L‘étape ultime de l'espoir
L'épreuve suprême de l'amour
Elle mérite amplement son histoire
C'est un honneur pour moi de vous la raconter
Femme exceptionnelle
Naturelle, épatante
Quelquefois même provocante
Elle demeurera pour toujours
La plus charmante
Elle m'a enlacé dans son avenir
Était prête à s'investir
Vers la douce balade
Qui m'exhiba devant le monde
Ma mère, femme attentionnée
Passionnée et remarquable
Dotée d'une énergie incroyable
Elle a su relever
Le défi qu'elle s'est donnée
Sans jamais abandonner
Portant sa charge
Le poids de tous ses sacrifices
Elle a su apaiser mon cœur
Me consoler, me délivrer
Elle m'a toujours comblé
Jamais je ne saurais renier
L'amour qui m'a tout donné
Saurais-je lui dédier
Le respect qu'elle a
En moi, forgé?
Nulle lettre
Ne saurait lui dire un assez grand merci
Pour rattraper toutes mes fautes
Alors pour l'instant
Je vais faire du mieux que je peux
Et peut-être qu'un jour
J'aurai réussi à la mériter
Avec tout mon amour
De l'acte ainsi soudain aussi serein
Au doux miracle de l'être humain
Depuis que son âme, sur terre est monde
Portée par la couleur d'une mère qui rougit
D'un amour à tout rompre, sans s'interrompre
Cette tolérance qui s'offre à la vie
Oh moi ma mère
Je la raconte
Telle une femme
Ma grande fable
Et siffle son air
Sans m'en rendre compte
Pleure ses larmes
Si perméable
Au gré du temps
À dire Merci
Plus qu'à son tour
Au rythme d'un long réconfort
Quitte à en prendre le risque
L'étape sublime de l'espoir
Au poids d'un lourd sacrifice
Berçant son fils chaque jour
Portant sa charge jusqu'au soir
L'épreuve suprême de l'amour
L'hymne à la grande histoire
Apaisant mon cœur à ce jour
Et toi ma mère Je te confie
En beau bonhomme
Ton grand fiston
Est si sincère
T'aime pour la vie
Si terre à terre
Toi qui me pardonne
D'avoir parfois été con
Je te dédie
Et te fredonne
Cette chanson
Au gré du temps
Et pour toujours
Un Grand Merci
À toi maman
Oh, Depuis que mère est monde
Sur une terre sans s'interrompre
Au rythme d'un bien long détour
Oh toi, mon emblème pour toujours
L'épreuve sublime de l'amour
L'hymne à la grande histoire
L'emblème sublime de l'espoir
Tout doucement
Je te le fredonne
Si tendrement
Comme s'écrit
Une couronne Au gré du temps….
Un Grand merci TOUT SIMPLEMENT À toi maman
Olivier Campeau (Louis Songe)
Écrit par olivier_campeau@hotm
Continuer de garder espoir
Catégorie : Divers
Publié le 20/01/2017
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C'est ma foi un bel hommage. | |
jacou |
Ma manière de la remercier pour l'ardeur d'une foi, d'un sacrifice qu'elle aura su portée en son bien maladroit de grand fiston....et ce bien malgré tout ces fautes qu'il aura commis dans sa troubadour d'existence | |
olivier_campeau@hotm |