Quand brûle le désir de mon être
je sens la raison disparaître,
l'animalité s'installer dans mon âme
comme du fond de la mer une lame
ravageant ce qu'il y a en moi de civilisé.
L'obsession de tes formes, sans jamais s'épuiser,
remonte à la surface, comme un bout de bois
jeté à la mer par le maître à son chien aux abois.
Que de souffrances à survivre dans de telles tempêtes!!!
Assis tout seul sur le pont à me tenir la tête.
Je vais te quitter pour nous sauver du vice
Car la turbulence de nos amours est destructrice.
Si tu m'entends parfois au milieu de la nuit
oublie-moi, s'il te plaît, dans ces moments d'ennui.
Adieu, passion de ma vie!!!
Écrit par philou
Crise du grand large pour marin dantesque...
Catégorie : Amitié
Publié le 13/02/2009
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Commentaires
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Posté le 13/02/2009 à 19:59:02
trés dur d'oublier quelqu'un qu'on aime!!en tout cas superbe poème que tu as écris!! amitié blackbreton |
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Blackbreton |
Posté le 13/02/2009 à 21:48:58
Bel écrit, oui. Et j'aime ce titre :) | |
blueberry |
Posté le 13/02/2009 à 21:57:21
L'oubli n'est pas facile, mais l'écrire aide un peu !!! Ton poème est triste mais beau. Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |