Les cons cernent sa vie
Sans se voir concernés
Et la détresse s'écrit
Sur l'aile d'une âme fanée
Le bleu cerne ses yeux
L'ampleur insoupçonnée
Du fardeau qu'elle supporte
Lents pleurs, insoupçonnés
Son sourire que l'époux vante
S'efface sous les ombres du soir
Au rythme d'une peine lancinante
Un con bat sans espoir
Expirant en silence
Elle chante doucement, mots roses
Et terne elle oublie
La brûlure d'un enfer
Pour seule ligne d'horizon
Attendant patiemment
La fin que son œil éteint scelle
Lents pleurs Asphyxiée de doux leurres
Écrit par poesiedesrues
Tâche toujours de voir plus loin
Toute âme, à sa manière, est belle Et l'artiste n'est qu'un humain Qui a levé les yeux au ciel Catégorie : Poésie
Publié le 21/02/2019
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Commentaires
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Posté le 21/02/2019 à 10:43:42
Je sors de cette écriture dans un étouffement ... Car attendre que le mal passera est un leurre ...il faut partir et vite ! Merci poétesse ! |
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Yuba |
Posté le 21/02/2019 à 18:40:56
À lire plusieurs fois. Merci ;-) | |
AdA |
Posté le 22/02/2019 à 15:05:23
Un magnifique poème Et pour l'effet mer bravo... Merci du partage :) |
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MARIE L. |
Posté le 22/02/2019 à 19:20:56
Merci à vous tous ! | |
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