Amour maternel,
Amour éternel,
Ressentiments de maman,
Qui te donne tant.
Quand je me perds dans le brouillard,
Parce que ce sont ça mes cauchemars,
Auteur de désespoir !
Faites que ça cesse !
Pour que son cœur ne blesse.
Quand je te vois, petit enfant,
Pleurant,
Me demandant tout simplement :
Tu veux rentrer à la maison,
Car là ou nous sommes c'est une prison,
Tu es victimes d'agression,
Le cœur de ta mère te cherche partout,
Bien des mètres elle en a fait,
Pour te retrouver tout apeuré,
En compagnie de ces jeunes délurés,
Qui ne rêvait que d'une chose, te donner une bonne raclée.
O cauchemars de malheur,
Auteurs de mes réveils agités,
Partez à tout jamais,
Donnez moi plus de chaleur,
Disparaissez !
Donnez à ce petit enfant que j'aime tant,
Le bonheur tout simplement,
Il ne mérite pas de souffrir,
Des aléas de la vie,
Offrez lui juste le sourire.
A ces cauchemars pas très sympas…
Heureusement que ça n'est pas ça notre vie !
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j'aime ! c'est très joli | |
Caliopsa |
très joli poème ! amicalement |
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Ael-mat |