. O Joli papillon, aux ailes déployées MODERNE
Tout gorgé de soleil, et bercé d'Alysés GUADELOUPE
Paradis convoité, paradis déchiré,
Je ne reconnais plus, ce que j'ai tant aimé .
Tu as toujours tes fleurs, tes mornes verdoyants,
Tes nuages mousseux, ton soleil éclatant,
Ton parfum de cannelle, et ta mer émeraude,
Mais ton âme a durci et tes têtes sont chaudes.
Je t'ai connu jadis, aux cases délabrées,
Aux sentiers tortueux, aux voitures rouillées,
Aux terrains sans agrumes, tant le sol était dur
Puis, Hugo est passé, arasant tous tes murs
Et, la France était là, t'en souviens tu sans doute ?
Tu as eu des maisons, des ponts, des autos routes.
Les voitures modernes ont chassé les « tacots »
Et les supers marchés, remplacé les « lolos »
C'est à perte de vue, qu'ont poussé, tes melons,
Et tes champs de tomates, et ceux de giraumons,
Grâce au matériel, des plus sophistiqués,
Tes arides terrains, se sont domestiqués
Je n'ai plus reconnu, tes beaux sites sauvages,
Tes cascades ombragées, tes magnifiques plages,
Le progrès insidieux a changé ton visage,
A détruit ta douceur, a terni ton image
Aujourd'hui, tu t'agites, tu cherches tes racines,
Tu parles d'esclavage, et la haine te mine,
Tu suis aveuglement, des leaders surchauffés,
Qui attisent le feu, et pourraient t'exploiter
Si ton cœur est français, ô Guadeloupe sœur,
Redeviens cette amie, et garde ta douceur,
Car rien ne justifie, non rien, dans ce bas monde,
Qu'entre frères on se tue, car la haine est immonde.
Oublions les querelles et tendons nous la main,
Nous y gagnerons tous ; les hommes de demain
Seront tous métissés, de véritables frères.
C'est mon vœux le plus cher le tien aussi j'espère GISELE SVETZ
GISELE RAYMOND
. O Joli papillon, aux ailes déployées MODERNE
Tout gorgé de soleil, et bercé d'Alysés GUADELOUPE
Paradis convoité, paradis déchiré,
Je ne reconnais plus, ce que j'ai tant aimé .
Tu as toujours tes fleurs, tes mornes verdoyants,
Tes nuages mousseux, ton soleil éclatant,
Ton parfum de cannelle, et ta mer émeraude,
Mais ton âme a durci et tes têtes sont chaudes.
Je t'ai connu jadis, aux cases délabrées,
Aux sentiers tortueux, aux voitures rouillées,
Aux terrains sans agrumes, tant le sol était dur
Puis, Hugo est passé, arasant tous tes murs
Et, la France était là, t'en souviens tu sans doute ?
Tu as eu des maisons, des ponts, des autos routes.
Les voitures modernes ont chassé les « tacots »
Et les supers marchés, remplacé les « lolos »
C'est à perte de vue, qu'ont poussé, tes melons,
Et tes champs de tomates, et ceux de giraumons,
Grâce au matériel, des plus sophistiqués,
Tes arides terrains, se sont domestiqués
Je n'ai plus reconnu, tes beaux sites sauvages,
Tes cascades ombragées, tes magnifiques plages,
Le progrès insidieux a changé ton visage,
A détruit ta douceur, a terni ton image
Aujourd'hui, tu t'agites, tu cherches tes racines,
Tu parles d'esclavage, et la haine te mine,
Tu suis aveuglement, des leaders surchauffés,
Qui attisent le feu, et pourraient t'exploiter
Si ton cœur est français, ô Guadeloupe sœur,
Redeviens cette amie, et garde ta douceur,
Car rien ne justifie, non rien, dans ce bas monde,
Qu'entre frères on se tue, car la haine est immonde.
Oublions les querelles et tendons nous la main,
Nous y gagnerons tous ; les hommes de demain
Seront tous métissés, de véritables frères.
C'est mon vœux le plus cher le tien aussi j'espère GISELE SVETZ
Écrit par sagittaire
Au de la des mots
Catégorie : Amitié
Publié le 13/05/2010
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J'adore ta dernière strophe porteuse de paix entre les peuples ! amitiés Louann |
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louann |
J'adore ce poème vraiment persuasif. | |
eric |
je m'excuse pour la mauvaise presentation, ceci est du à mon inexperience sur le copier coller je suis sincère sur tout ce que j'ecris ,car j'aime les guadeloupéens qui aiment la France |
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sagittaire |