Puisqu'il en est ainsi, que tu ne comprends pas,
Souris moi donc, souris ! et on en reste là.
Va chatouiller les jupes des jeunes demoiselles
Tu avoueras toi même à quel point elles sont belles.
L'amour est dogmatique, dans notre cas, je crois
Nous sommeillons dessus tout comme sur un beau drap.
Mais le rêve est fini, flou et bien loin déjà
J'ai bien peur que Morphée ne nous rendorme pas.
Tes lèvres avaient un gôut tendre et fort à la fois
Je buvais leur baisers avec soif, avec foi
L'ivresse a pourtant eu, un jour raison de moi
Je demeure abstinente, mais qui a bu boira.
Car il suffit de peu pour plonger à nouveau
D'ailleurs, j'en fais l'aveu, tu es toujours très beau...
Pars ! oui mais, souris moi ! rien qu'une dernière fois
Ou alors, on s'embrasse ? et on oublie tout ça...
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Un poème fort, j'ai adoré ! Au plaisir de te relire, Jerem |
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Jerem |
Bonsoir salomé...J'ai vraiment beaucoup aimé, la souffrance de la fin d'un Amour est la même qu'on soit homme ou femme. Beau partage et bonne continuation. | |
Chaosoukhan |
J'ai adoré la légerté de l'écriture malgré le profond désir toujours présent, et l'audace qui transparait ! Venant d'une fille c'est encore plus agréable à lire :) |
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Victor Alexandre |