Çà commence par un prénom sur le sable
Une histoire qui se déguise en fable,
Un long fleuve tranquille mais fragile
Contre un océan qui tremble de son exil.
Encore une fille un peu niaise, trop rêveuse,
Revit la nuit d'une baise capricieuse
Où les morsures sont les tatouages,
Restant sur son corps comme le sillage !
Dire oui à tout, sans pouvoir et en vouloir encore
Chercher chaque nuit ce qu'il reste de son corps...
Ne voir dans les yeux que les rêves et les fantasmes
Attendre quand reviendront les prochains orgasmes !
L'amour, est l'orifice ou l'on crache ses désirs !
La haine, est une salope qui veut nous voir périr !
Moi, sans doute une sage putain à l'âme qui flanche,
Une douleur, une blessure ouverte à larme blanche...
Écrit par silencieuses59
Jour après jour je persiste à créer du rien... (Debussy)
Catégorie : Triste
Publié le 18/03/2016
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Commentaires
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Posté le 18/03/2016 à 13:49:57
La forme est compacte, mais le texte m'a plu. Je me suis déjà fait tatouer un innavouable désir. | |
Intruder |
Posté le 18/03/2016 à 20:18:07
Les cinq derniers vers sont superbes ! J'aime beaucoup | |
Galerion |
Posté le 18/03/2016 à 22:18:36
Merci à tous les deux | |
silencieuses59 |