Comme les cordes d'un sublime violoncelle,
Mon cœur, mon corps, se mettent à vibrer.
Et flottent comme une étole de flanelle,
Des pensées qu'un autre pourrait envier.
Un éclair de feu transperce mon âme,
Électrisant mes envies mes sens.
Tes yeux scintillent comme une lame,
Pour me perdre dans un désert immense.
Chaque jour, j'erre dans des méandres.
Je me meurs de ne pouvoir t'aimer,
Je me meurs de ne pouvoir te prendre,
Comme Cissée, je me sens condamné.
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Commentaires
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Posté le 29/12/2011 à 07:36:38
Une poésie très romantique et un amour platonique . | |
TANGO |
Posté le 29/12/2011 à 10:55:31
mourir d'amour cela reste du plaisir bravo |
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PATGUI |