Si tu es le vent,
Opportun, suivant le ton de deux voix,
Quand l'une s'échappe, en brise je crois
Egarée, pleurant dans l'égarement
L'autre voit dans les raccords diluviens
Sa propre écorce de tremble, doucement
Car sa voie est lisse, comme: "Meurs, vis bien."
Nous enfermions les sourds dans un orgue.
Leur souffle a la forme d'un revenant.
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Commentaires
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Posté le 30/05/2011 à 17:40:55
Mystérieux poème. J'aime beaucoup, surtout la fin. Merci pour cette belle lecture. | |
Marouette |
Posté le 01/06/2011 à 09:22:23
magique!! | |
MARIE L. |