Un reflet sur l'air de désinvolture, comme il se doit de l'entonner en ces temps si légers que même un oratorio serait bafoué ; continuons donc sur cette belle allée, la seule que le mental n'a pas saccagée.
Elle, c'est ce conduit dans votre tête où vous entassez les choses belles et les belles qui ne seront jamais vos choses. Pensez à la revanche et à la haine, pensez à l'amour pusillanime,
Pensez, oui, pensez les volatiles, vous verrez, pâquerette après pâquerette, sourire après sourire aux inconnues qui s'honorent sous les lampadaires aux airs incongrus, à ce point de votre équinoxe, vous ne serez plus être en marche mais un être évadé de lui-même.
Pourrais-je vous toucher alors l'âme, bel être ou alors capter un peu de votre évanescence.
Pourrais-je, devrais-je simplement filer dans ce brouillard au blanc si crémeux ?
Annonceriez-vous enfin une neuve existence ?
Alain
Écrit par spock27
« Ne laissez pas les mots penser à votre place. Ayez une parole habitée. »
de Jiddu Krishnamurti Catégorie : Divers
Publié le 26/11/2011
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