- Ecrit sur fond de "My tears dry on their own" d'Amy Winehouse (r.i.p) -
Comme si souvent pour ne pas dire toujours
Mes pensées te sont dédiées mon amour
En ce jour spécial elles sont au nombre de 22
Les voici en vrac, emballées pour le mieux
Non pas dans un vulgaire papier cadeau
Mais entourés par de bien jolis mots
Ainsi je commencerai par te dire que je t'aime
Aussi fort qu'à nos premiers matins
Aussi follement que nos premiers ébats
D'une douce tristesse presque féérique
D'une norme frôlant l'atypique
Cependant ces vers me semblent bien vides
Lorsque je les compare à mes sentiments
Car quand je sonde mon coeur cupide
Je t'y vois toi comme éternel amant
Mais plus je t'écris plus j'enlève de sa superbe
A cette histoire qui nous caractérise si bien
Plus les soirs passent et plus je me languis
Du goût merveilleux de tes lèvres endormies
Et comme le dit si bien ce proverbe:
Dieu a créé la nuit pour que je puisse rêver de toi
On a traversé de bien tristes tempêtes
Qui très loin de nous affaiblir
Ont fait de nous ces féroces bêtes
Qui du sang de l'autre peuvent se nourrir
Sang qui coule dans tes veines
Bout entre mes reins
Machine que plus rien ne freine
Jusqu'à la percée du matin
Puis quitte à jouer de métaphores
Ajoutons quelques comparaisons
A ce texte déjà influencé à tord
Par le coeur plus que par la raison
Ainsi tu es ma folie lorsque mon idylle n'est point
Tu es mon ami lorsque mon amant est loin
Tu es mon désir le plus charnel lorsqu'en tenue d'Adam
Le poison le plus cruel lorsqu'en moi tu t'étends
Tel Alexandre l'Asie
Ou encore Napoléon l'Europe
Ton amour m'a conquise
Et a fait de moi sa Pénélope
Fidèle à toutes épreuves
Amoureuse transie d'Ulysse
Histoire que sans cesse l'on abreuve
Sans que jamais elle ne ternisse
Je t'ai tellement écrit que je me demande
Si tout ce que je te dis, tous ces mots en offrande
Ne sonnent pas faux à tes oreilles
Si, bien que je t'aime toujours et même plus qu'avant
Tu ne finiras pas par te lasser lentement
Mais voilà que mon coeur fatigue
Qu'il ne sait même plus
Quelle parole il ne t'a pas déjà dite
Pour te prouver bel ange perdu
A quel point il t'adore
A quel point ce petit corps de femme
A chaque pensée t'honore
Te dévore sans état d'âme
Je terminerai par ce qui suit:
Bois donc les vers qui précèdent
Savoure les comme l'Ambroisie
Voilà pour tes 22 années, que je t'aime chéri.
Écrit par sweet revenge
《 Le souvenir, c'est la présence invisible.》Victor Hugo
Catégorie : Amour
Publié le 26/07/2011
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