Ce sont ces buildings de métal
Qui colorent mon mode natal
Leur triste grise couleur
Entache peu à peu mon bonheur
La froideur de ces constructions
Encrasées par la pollution
Donne un goût de désespoir
Enracinées dans leur ombre noir
Où sont passées nos campagnes
Là où les animaux règnent
Au milieu de vastes champs
Faisant le bonheur des enfants
Derrière les nuages, il sommeille
Ce grand et éclatant soleil
Mais l'air est tellement entaché
Que les rayons ne peuvent passer
Ce qui, notre monde pourri ?
Le poison craché par l'industrie !
Ici c'est l'argent que l'on préfère
Plus que l'amour de la terre.
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Écrit par titnager
la poésie est la seule vertu de l\'âme qui reflète notre amour et notre hainecontinuer à vivre en ayant perdu la volonté, ou cela peut-il bien vous mener?
Catégorie : Triste
Publié le 29/08/2010
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Commentaires
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Posté le 29/08/2010 à 17:01:20
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Ces immeubles font vivre des centaines de personnes mais au détriment du bien-être et de la nature et les hommes comme des mouches s'agglutinent à leur périphérie en croyant en tirer quelque profit . Un beau poème clairvoyant .Amitiés |
TANGO  |
Posté le 30/08/2010 à 20:13:59
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Difficile de s'extasier devant la délicatesse d'un papillon ou l'élégance du vol de l'hirondelle, lorsque les hommes sont obligés de vivre dans ces cages de béton ; pourtant il serait possible de faire mieux mais l'argent mène le monde et ce monde là est oublié ! très bel écrit, à méditer. Merci, cordialement, CRIS |
CRIS  |