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Quand vient le soir je pense. Je pense à toi,
Toi qui te méfies du noir. je songe tes nuits.
La suie qui encombre mon histoire : l'ennui
Des cris qui réfugient l'espoir sous ton toit
Une fleur sur le rideau s'est ouverte dans un cri
Et je cries « plus fort!? » et l'eau fleure sur ta ride
Sur ton corps je sème malgré tes chagrins arides.
Toi qui ries alors des « je t'aime » que je t'écris.
La lune a eu raison de se vautrer dans une dune
Vaut mieux mordre du sable que de la poussière
Mais si tu m'offres un plaisir je serais qu'en faire
Inlassable je te vendrais ma raison et ma fortune.
Quant vient le soir j'ai l'espoir de voir le matin
Être oublié dans ton lit, mon corps sur le tien.
Écrit par veilleurdenuit
advienne que voudra!
Catégorie : Amour
Publié le 28/10/2008
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Commentaires
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Posté le 28/10/2008 à 07:36:02
Un mot c'est beau, mieux très très beau. | |
ramie |
Posté le 28/10/2008 à 10:50:27
je dirais même plus : superbe! | |
lo |