Les jours heureux se sont fanés,
Dans son regard, plus de bluette,
Son départ a fait fuir la fête,
Avec ses clowns enrubannés.
-
Le ciel, n'en faisait qu'à sa tête,
Les gros nuages ne grondaient plus
Et pourtant hier, ce qu'il a plu,
Derrière le clocher, sur la crête.
-
Elle est mon amour disparu,
Dans ses bras, je me sentais bête,
Comme un canard qui perd la tête,
Sous l'eau de la mare inconnue.
-
Ses frissons, comme des tourbillons,
Alimentaient toutes mes tempêtes,
Quand elle disait qu'elle était prête,
A faire dresser mon aiguillon.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 17/05/2012
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Commentaires
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Posté le 17/05/2012 à 09:56:37
Subtilement agréable | |
PATGUI |
Posté le 17/05/2012 à 13:05:14
Bellement écrit. | |
Diantre |
Posté le 18/05/2012 à 08:02:28
Poème d'amour simple, classique et agréable à lire. | |
TANGO |