Souffrant de blessures mortelles,
Pauvre papillon doux et frêle,
Ne mérite pas cette peine :
Qui est de se brûler les ailes.
Autorise moi à te panser,
Avec mon langage insensé,
De te donner de jolies pensées,
Pour t'engendrer un rire léger.
Quelques vers d'un poète de folie,
De ses inspirations, il suivit.
Il créa ce poème par l'envie,
Pour celle qui est nommée Emilie.
Écrit par wai
La folie m'abolit.
Je n'ai pas pu devenir un ange. Catégorie : Amitié
Publié le 18/04/2007
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Commentaires
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Posté le 18/04/2007 à 23:28:15
superbe ! j'aime beaucoup | |
Sadness_Angel |
Posté le 18/04/2007 à 23:56:06
Moi aussi. Elle en a de la chance cette Emilie ! | |
Nighty |
Posté le 19/04/2007 à 09:53:26
tu écrit bien bravo |
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gregaury |
Posté le 19/04/2007 à 17:47:15
il est superbe ce poème | |
plustout |
Posté le 16/08/2007 à 18:25:57
Superbe écrit d'amitié. | |
apocalypse |
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