Je suivais le soleil
Dont l'éclat m'émerveille.
Son char se déplaçait
Dans le ciel embrassé.
Je suivais ma sirène,
Plus belle qu'une reine,
Envoûté par son chant,
Si beau, en m'approchant.
J'étais pris par la bise,
Les embruns qui me grisent,
Naviguant sur la mer,
Loin des gouffres amers.
Je n'étais qu'un voilier
Enfui d'un atelier,
Un esquif amoureux
Cherchant des jours heureux.
Soudain une tempête
Me tomba sur la tête.
Je crus faire naufrage,
Terminer mon voyage.
Je découvris une île.
Ma vie devint tranquille,
Alors loin des tourments
Qu'on éprouve en aimant.
Écrit par woodywood
Le bonheur est accessible à tous, surtout à ceux qui lui tendent la main.
Catégorie : Divers
Publié le 09/07/2012
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Commentaires
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Posté le 09/07/2012 à 06:55:40
L'idée est originale ! | |
platon |
Posté le 09/07/2012 à 09:25:55
Délicieux, je trouve, surtout la chute, j'adore la conclusion. | |
flipote |
Posté le 09/07/2012 à 16:30:34
Comme un film. | |
eric |