Que surveilles-tu ?
Est-ce moi que tu guettes ?
Aurais-tu peur que je te bouscule ?
Un nuage gris foncé tout dépeigné
Passe au-dessus des toits entr'aperçus
Et la nuit tombe en claquant la porte,
L'orage s'est amassé clandestinement...
Tu captures une parole de nuit,
Chuchotée,
Brisée
Une boule de nerfs passe entre nous
Tu ne réponds pas,
Tu te gardes
Le ciel se zèbre d'une déchirure,
Ton front se plisse en accordéon
Calme-toi
Nos doigts dessinent sur la vitre,
Un arbre
Qui ne sera pas foudroyé.
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Commentaires
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Posté le 30/10/2009 à 08:52:02
Posté le 30/10/2009 à 09:18:58
majestueux arbre racines fortes branches protectrices le train passe mais tout subsiste! debout? |
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MARIE L. |
Posté le 30/10/2009 à 09:33:53
De la pure poésie, merci pour ce beau poème. Amitiés. |
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JB |
Posté le 30/10/2009 à 17:57:51
étrange et si beau! c'est à chaque fois une nouvelle aventure de te lire amitiés | |
flipote |
Posté le 30/10/2009 à 23:14:44
Ta touche est magnifique, une écriture particulière que j'aime lire. Amitiés Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Posté le 31/10/2009 à 05:15:14
Jubilatoire. Et enlevez-moi ce fantôme de mon écran, pour l'amour du ciel ! | |
Raphàailes |
Posté le 01/11/2009 à 12:29:29
Route longue semée d'embûches, mais, voyage inachevé... Amicalement |
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zenobie |
Commentaires
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