Le mal est là, pour un brin de haine
et c'est partout qu'il a semé ses graines
Que cet état cancer, aux mains souillées par le sang de nos frères,de nos soeurs, que ce peuplement à la barbarie sans fond, venu de toutes parts et, qui ne devient qu'immense caserne, que ce profanateur cynique et infâme sache, que l'injustice ne peut durer et qu'une nation importée de toutes haines, ne pourrait déporter un peuple enraciné jusque aux graines…
Aux yeux du monde, état sioniste assassin, aux yeux du monde humain et non d'états mercenaires prônant le seul droit militaire…
Mortes ou vives, des têtes sont misées sur une partie de poker, pour un puits de pétrole ou pour une poignée de dollars, butin pour les putains de ces gouvernants à la mode Bigeard, Massu ou Pétain ; pour que des corps livides sans cœurs, pour que des panses arides de valeur, pour que des bourses sans profondeur soient pleines
L'on nous a lu nos droits, pourtant injustes et si maladroits… pour une fin en soit, petite et naine
Des droits, de l'homme, de la femme, de l'enfant, des minorités, des mineurs, des fous, des animaux, et même ceux des cons, alors que l'on saigne à bâtons rompus alors l'on brûle à charbon ardent les vestiges d'humanité qui nous restent, et qu'en fait, le seul droit reconnu c'est celui du poing

L'humanité vendue aux charognes devient Charon.
Elle est conduite aux enfers d'Hadès… les restes de ceux chez qui il reste un peu d'humanité sont restés sans voix, voués à la l'usure d'un temps renégat où le moi, fait foi.
Outrés qu'ils aient perdus les plus belles notions apprises sur les bancs d'école et sur les livres de loi, outrés qu'ils aient perdus la voie de la dignité et de la sagesse qui ne font plus le poids … les restes de ceux chez qui il reste un peu d'humanité se noient, au fond d'une amertume sans fond, au fond d'une frustration impie, au fond du désarroi

Les enfants de là-bas, épellent nos noms, des enfants là-bas à la pelle, des enfants là-bas nous appellent. Ils sont dans l'effroi, ils dessinent sur les murs, la sournoise querelle du vrai et du faux que nous mettons bas, comme une crotte de droit que l'on mets souvent à l'envers, que… l'on est…. maladroit… et ces fous de pouvoir qui s'amusent avec la pus belle création, misée sur un jeu de poker, ces fous pour qui nos têtes ne sont plus que des ballons sur un terrain de foot.
Ces fous qui mandatés par des fous et par un semblant de démocratie aveugle qui démolit tout. Ces fous qui détiennent notre avenir et celui de nos enfants dans le creux de leurs mains ; ces fous qui nous tiennent en otages dans un jeu de poker, nous en sommes les pions. Les jeux sont faits, alors votez si vous pensez être démocrates,
Allez aux urnes avec vos plumes et vos cravates, et à chaque fois qu'il vous semblera qu'un semblant de justice puisse renaître de ces cendres. Moi, je ne voterais plus… moi je ne voterai plus pour des fous qui s'exhibent dans des bains de foules, je ne voterai plus pour des cons qui sourient pour une heure de nudité publique…ces fous sans aucune pudeur qui décident du chemin que l'on devrait suivre, dans un jeux de poker, où les joueurs sont du genre Olmert, Bush, Crotzi et Blair
Ma Palestine verra le jour croyez moi. Malgré tous ceux qui télécommande à la main, la zappent devant une scène de nudité humaine ou devant une scène de cruauté publique …
Taisez vous l'on saigne la paix, fermez les yeux l'on viole le droit… pendant que l'on nous enseigne comment être aveugle pendant que l'on nous apprend comment être sourds, pendant que l'on nous inculque comment savoir se taire. Mais sachez qu'un jour, malgré vous, les violés d'hier, enfants d'aujourd'hui renaîtront de leur violence. Car un jour la proie chassera son prédateur et que la voie des larmes des lamentations et des pleurs sera à tout jamais, bannie de nos terres.
Où l'olivier renaîtra de ces cendres comme un phénix pour redorer son blason vert où la colombe abandonnera les civières pour habiter dans le creux de la main d'une autre Fairouz qui remontera sur scène… et…qui chantera encore une fois, d'une voix plus libre que jamais, pour les enfants du monde entier…. la paix pour…une…Palestine… au bout de ses peines……………

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un texte qui date de la guerre d'Irak, le peuple avait à choisir entre les affres du dictateur Sadam et de tous les hypocrites pays qui l'entouraient ou la démocratie importée à coup de bombes à l'uranium "soit disant appauvrit" , des centaines de milliers de morts, des millions de femmes exposées à ces produits hautement dangereux de la civilisation, donnent naissance à des enfants mal-formés et des maladies rares, et sa continue, en Syrie, en Libye au Mali, et en Palestine, cette foutue démocratie est exportée à coup de massue et qui paie???? et qui vend???