De ce monde je ne suis qu'un passage éphémère
La lune dans ma vie est mon sigle de naissance
Je ne sais si je sais, je ne sais mes compères
Si le monde après moi, aura plus de plaisance
Je perds de ma vie chaque instant une larme
Comme des gouttes de pluie qui s'arrachent de mes yeux
Qui arrachent de mon coeur, la beauté et le charme
Par la fuite de l'âme, mon corps se fait vieux
Je me perds un instant, observant les étoiles
Des croquis apparaissent, des images se dévoilent
Quelques mots se dessinent sur le fond d'une toile
Et le noir devient blanc, le voilà le soleil
Une bouche qui s'ouvre, un sourire qui scintille
Silhouette d'ange, chinoise aux Antilles
Elle pénètre le coeur, et chamboule ma vie
Mais ma mère à côté ! C'est l'heure du réveil !
Écrit par zeste
la vie n'est qu'éphémère nous ne sommes que passagers qu'elle soit bonne qu'elle soit amère il faudrait se partager le pire et le meilleur.
Catégorie : Amitié
Publié le 17/12/2013
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Commentaires
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Posté le 19/12/2013 à 00:24:12
Bel écrit qui se laisse lire avec beaucoup de plaisir. | |
Octavie |
Posté le 20/12/2013 à 13:20:40
Tout peut ce perdre un jour à mon sens sauf ce qui sort si fort de l'âme très bel écrit ! Amitiés |
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Yuba |
Posté le 21/12/2013 à 15:20:47
merci Octavie, merci yubanca, mes amitiés sincères. zeste |
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zeste |
Posté le 13/01/2014 à 18:55:49
Qu'il est doux ce réveil du poète qui vient de rêver que son corps se fait vieux par la fuite de l'âme et que le soleil apparait dès que le noir devient blanc. Très bel écrit. Mes amitiés poétiques. actuaire |
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actuaire |
Posté le 14/01/2014 à 10:06:09
Tu as, cher zeste, des réveils divinement poétiques ! Bercé par tes beaux vers dans un plaisir de lecture. Merci, ami, pour cet instant ! Avec toute ma sympathie, ANTEROS. |
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ANTEROS |