Tu t'es assise près de moi,
Ce matin-là quand il a plu,
Je ne me souviens plus du mois,
Je sais pourtant que tu m'as plu.
Tes cheveux frôlaient mon visage,
Ton doux parfum me rendait fou,
Tu étais peut-être trop sage,
Telle la vierge de Corfou.
On se coucha sur l'herbe humide,
Tu me proposas un coussin,
Les yeux mi-clos. Ton doigt timide,
Me désigna un de tes seins.
Virgile.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 10/04/2019
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Commentaires
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Posté le 10/04/2019 à 19:34:19
très joli était-elle mono-galactique ? |
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marinette |
Posté le 10/04/2019 à 20:55:42
Voilà un poème coquin | |
fee-de-ble |
Posté le 11/04/2019 à 16:48:01
J'ai connu ce même genre d'entrée en matière, la première fois, si mignon... La 1ère strophe est très plaisante, et le reste suit, merci pour les vers ! | |
jacou |