Un poète eut sa Laure or lui déployait l'Aube (1)
Qui au solitaire donna dit d'amant pur
À louer, s'il s'affame ô s'il lovait l'épure
En femme qu'incarnat colore veine au be-

Soin du sang vif, qui d'un cheveu l'arrose rouge
J'ai fait ma provision, elle est d'un écureuil
De Toi, qui est sœur-reine où je vois Argenteuil
Qui me clama Ton nom, disparition qui bouge (2)

Victoire positive où s'appartenir d' Âme
Entraîne un chevalier à mieux servir sa Dame
Si le Ciel en sa Gloire a synchronie-citée (2)

Ton Unique prénom sur moi lève l'aurore
Où je cherche une noise étreignant qui j'adore
En allée, et mon souffle éteint qui j'ai été (3)

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Notes :

(1)
Pétrarque aimait Laure, André Breton eut pour fille une Aube.

(2)
Hier en ma ville d'Argenteuil j'ai vu un prénom lié à une campagne publicitaire, la même que je vis des mois antérieurs dans une autre ville. Ce prénom clame qui j'aime, il s'agit de synchronicités dont Carl Gustav Jung et des médecins et chercheurs disent avoir rapport au divin, au spirituel en l'homme où André Breton lui-même poète mais sceptique voyait son « hasard objectif » donnant signes surréels dans le réel, car l'on n'interroge pas les dieux, on en frémirait plutôt. Ce prénom présent hier aujourd'hui s'en est allé…

(3)
J'habite une « allée des Écureuils ».

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Ce poème a été composé en intégrant des mots prédéfinis que voici (séries du forum) :

noisette, provision, disparition, appartenir, rouge,
gloire, serein, victoire, entraîner, positive