- Le poème n'a pas encore été validé par un modérateur.
Assise sur un banc
Je me pose et j'observe
Ce que l'homme trop souvent
Délaisse et ne conserve
Le doux souffle du vent
Un rayon qui éclaire
L'homme est indifférent
Et cache la lumière
Un monde opaque il fait
Dénué d'or et d'écoute
Il nie tout ce qui naît
Comme de la pluie la goutte
Un brin d'herbe a poussé
Sous le goudron fêlé
Mais un homme est passé
D'un pas l'a piétiné
Dans le tronc de cet arbre
Un oiseau m'a chanté
Une complainte de marbre
Dont il demeure hanté
Pourquoi hâter la vie
Se plaindre de ce qu'elle est
Puisqu'elle est nos envies,
Avant tout, ce qu'on en fait
Écrit par Harmonie
Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie.André Malraux, Les conquérants
Catégorie : Divers
Publié le 30/12/2007
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Harmonie au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 02/01/2008 à 00:56:01
Je dirai très beau poème! | |
Savior |
Posté le 29/08/2008 à 17:00:29
absolument limpide | |
luka |