Et voila, au détour du sentier,
Nos chemins se séparent,
Nos mains se sont déliées,
Vers ailleurs, vers nulle part.
Mais j'entends déjà le cri des corbeaux,
Et des ombres, les charognards,
N'attaquent que de dos.
Mais allez, c'est ainsi,
Rends moi mon coeur, à bientôt,
A dans une autre vie,
Après la grande faux.
Et allez, je te laisse,
Que veux tu que je dise,
Non, je ne te déteste,
Car tu le vois, j'écris.
A nos belles soirées,
Levons nos verres bien haut,
Je te laisse, Nous, nous a quitté,
Et j'ai froid dans le dos.
A ta vie à la mienne,
Qui vont se séparer,
A ces jours sans lumière,
Que je vais pleurer,
A nos nuits audacieuses,
A nos heures de grands crus,
A mes mains trop calleuses,
Dont le travail ne fit pas toujours
Bonne fortune.
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 14/10/2008
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Commentaires
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Posté le 14/10/2008 à 22:55:55
Magnifique poème Super ton écrit !!! Amitié Francine :) |
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Francine |
Posté le 15/10/2008 à 01:41:35
Oui bel écrit, on écrit toujours bien sûr ça.. | |
lo |
Posté le 15/10/2008 à 08:12:34
Très bel écrit. | |
pichounne |
Posté le 15/10/2008 à 11:31:36
Très beau !!! Je ne sais que dire, il est vraiment... magnifique. Félicitations !!! |
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classica |
Posté le 15/10/2008 à 13:59:58
Félicitations,malgré ton désarroi tu t'en es bien sorti. j'adore et essaies de remonter la pente .Bien à toi | |
marsouine |
Posté le 15/10/2008 à 14:31:48
Bien triste, Troubad, une histoire que se termine ... Bonne chance ! | |
Nighty |
Commentaires
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