Sur le tracé du chemin.
Fardeau pesant.
Trouble le corps humain.
Le croix, blasphème la folie du manant.
Rires blafards.
Extase de l'auditoire.
Qui défoule sa colère.
Sur le pauvre homme, pieds aux fers.
Si ton père, laisse cette déchéance.
La moquerie du peuple injurieux.
Face au fil de Dieu.
L'échafaud cache alors délivrance.
Sous le voile miséricordieux.
Elle éponge la douleur du malheureux.
Seul quelques convictions.
Sur cet homme, animent encore sa religieuse passion.
Si plus tard, ce moment sera couvert de croyance.
Au jour, du jour funeste.
Ou l'être venu du ciel, est descendu par gentillesse.
Croquer la miséricorde insouciance de jouvence.
Si par le clou, qui fait suinter la chair.
L'écrit, sous la souplesse des plumes.
Ébranle la vérité austère.
Des croyances, qui masque la brume.
Face au monde.
En fidèle serviteur.
Il est monté. Délivré du pécheur.
Rejoindre son père dans l'outre-tombe.
D.
Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Triste
Publié le 15/08/2010
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