Quand je me lèverai demain
Neuf
Les lattes défraîchies du lit ne me suffiront plus.
Je partirai
La porte s'ouvrira sur une autre porte ouverte
Et derrière elle une vitre
Verte d'envie.
Le couloir sombre ne me happera pas
Déçu comme personne, je reviendrai demain
Coupable, échu, arqué, rompu
Mais le pinceau vibrant au nom animal
D'Ulysse.
Écrit par brunoejemert
Le matin, je ne mange pas, je pense à toi
A midi, je ne mange pas, je pense à toi Le soir, je ne mange pas, je pense à toi La nuit, je ne dors pas: j'ai faim. Catégorie : Divers
Publié le 17/12/2013
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Commentaires
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Posté le 17/12/2013 à 17:00:53
Lu et relu, mais pour moi, trop énigmatique. | |
Octavie |
Posté le 17/12/2013 à 18:44:08
oh il n'y a rien à comprendre... c'est mon idée de l'odysée, un peu surréelle. | |
brunoejemert |
Posté le 17/12/2013 à 21:23:14
Merci de me l'avoir notifié, il est vrai que je n'aurai jamais pensé à l'odysée, mais votre version en vaut bien une autre, elle est dépouillée et originale. | |
Octavie |